Parikia - Kalami - Kamares Parou - Kamares Naoussas - Nasousa - Xifara - Santa Maria - Ampelas
Vous débarquerez du navire à Paroikia (Παροικιά), qui pourra être votre point de départ pour effectuer votre première balade vers le nord-est de l’île. Avant de monter à bord de votre auto, n’hésitez pas à faire à pied le tour des curiosités du chef-lieu de Paros. Ne manquez surtout pas de visiter l’église aux Cent Portes (η Εκατονταπυλιανή – i Ekatontapyliani), l’un des plus beaux lieux de l’Archipel voués à la Sainte-Vierge, où a lieu l’un des pèlerinages les plus connus de la chrétienté orthodoxe. Juste à côté de cette église, un joli bois de pins vous surprendra par sa splendeur, traces actuelles de l’ancienne grande forêt de pins de Paroikia. Il s’agit d’une occasion à ne pas manquer de faire une petite marche en passant par là, pour déboucher sur la route départementale reliant Paroikia (Παροικιά) à Pounta (Πούντα).
En descendant vers le port, laissez-vous le temps pour flâner vers les restes du château vénitien où se trouve de nos jours le vieux marché, château autour duquel s’est bâtie la localité actuelle. Vous trouverez ici encore un monument de l’art byzantin, l’église de Saint-Constantin (ο ναός του Αγίου Κωνσταντίνου – O naos tou Agiou Konstantinou), qui mérite nettement le coup d’œil. En parcourant à pied les rues du quartier du vieux marché (παλιά αγορά – palia agora), vous pourrez admirer de vieilles maisons de maître vénitiennes, la demeure Dimitrakopoulou (η οικία Δημητρακοπούλου – i oikia Dimitrakopoulou) et les fontaines aménagées par l’ancien maire Mavrogenis (οι βρύσες του Δημάρχου Μαυρογένη – oi vryses tou Dimarchou Mavrogeni). Si vous le souhaitez, vous aurez encore la possibilité de profiter de la vue depuis la colline de Sainte-Anne (ο λόφος της Αγίας Άννας – o lofos tis Agias Annas), sur laquelle trônent deux moulins comptant parmi les plus typiques de la région égéenne. Depuis ce point, vous pourrez assister à l’un des plus beaux couchers de soleil de toute la mer Égée.
Outre votre promenade dans les rues étroites de Paroikia, qui offrent d’innombrables occasions de siroter un café ou un rafraîchissement ou un verre d’alcool à consommer avec modération dans un petit bistrot à l’ambiance sympathique et bon enfant, d’autres curiosités mériteront votre attention, comme le cimetière antique près de la mer (το αρχαίο νεκροταφείο – to archaio nekrotafeio), l’atelier de céramique (το εργαστήριο κεραμικής – to ergastirio keramikis) et enfin le Musée archéologique (το Αρχαιολογικό Μουσείο – to Archaiologiko Mouseio).
Nous poursuivrons notre balade en direction de Kalami (Καλάμι), petite localité à vocation elle aussi touristique, la première que nous croiserons à environ quatre kilomètres après le port de Paroikia en allant vers l’ouest. La route s’élève un petit peu sur le versant d’une colline, parmi de rares champs cultivés, des vignes, des maisons et des arbres ordonnés en rangs. En laissant derrière nous Kalami, nous descendons vers Kamares de Paros (Καμάρες της Πάρου – Kamares tis Parou), avec vue sur les éoliennes aménagées en haut de la colline située sur notre gauche.
Notre route se poursuit en descente, avec à gauche vue sur les terrasses de culture (αναβαθμίδες – anavathmides ; cf. les « restanques » de Basse Provence), contribuant à former un décor purement égéen, avec ses étendues buissonneuses et arbustives, ses rares maisons avec leurs devants verdoyants. La plupart de ces maisons constituaient déjà dans l’ancien temps des propriétés rurales que les Pariens des bourgs transformaient en résidences secondaires qui avaient eu auparavant l’usage de résidences principales. Mais bientôt s’achève notre balade et Naousa (Νάουσα) nous attend avec impatience.
Il s’agit, à n’en pas douter, de l’une des plus jolies anciennes petites villes de pêcheurs de toutes les îles égéennes, devenue lieu de séjour touristique international de par sa clientèle, une appellation qu’elle mérite à 100% en période estivale. Lorsque le visiteur arpente ses étroites ruelles très couleur locale, il peut de temps à autre entrapercevoir le petit port avec ses navires de pêche et de passagers, tandis que les points de vue sur le château vénitien, éclairé chaque nuit, complètent ce mignon décor irrésistible. Les images que l’on conservera en mémoire rappellent un peu les canaux de Venise.
Tout près du port se trouve le fortin vénitien de Kasteli (Καστέλι), dont une partie est encore conservée de nos jours. Tout près de la mer, cela vaut le coup d’œil d’aller visiter la petite église de Saint-Nicolas (ο μικρός ναός του Αγίου Νικολάου – o mikros naos tou Agiou Nikolaou), dédiée aux pêcheurs de Naousa, dont les prises sont encore aujourd’hui réputées pour leur abondance, puisqu’ils possèdent la plus importante flottille de pêche de toutes les Cyclades. Si d’aventure vous vous retrouvez ici vers la fin du mois d’août, vous aurez la chance de pouvoir assister à la Fête du poisson qui a lieu le 23 août, neuvième jour après le 15, fête de la Sainte-Vierge.
Une autre église de Naousa, caractérisée par sa valeur historique, est bâtie sur une hauteur dominant la petite ville. Ainsi l’église de la Dormition de la Vierge surplombe tous ses points géographiques où que l’on se trouve. L’un des aspects les plus typiques de Naousa consiste en son pont de pierre imposant, au-dessous duquel vous pourrez voir couler à certaines périodes de l’année un cours d’eau qui se jette dans la baie qui se trouve devant la petite ville.
Ainsi avons-nous atteint encore une fois la mer. Les plages situées autour de Naousa nous attendent, au même titre que le Parc environnemental (το περιβαλλοντικό πάρκο – to perivallontiko parko), près du monastère de Saint-Jean Detis (το μοναστήρι του Αη Γιάννη Δέτη – to monastiri tou Aï Gianni Deti). Nous pourrons profiter d’un plongeon pour nous rafraîchir sur les plages de sable de Piperi (το Πιπέρι – to Piperi), de Piperaki (το Πιπεράκι – to Piperaki), de Kolympithres (οι Κολυμπήθρες – oi Kolympithres), de Monastiri (το Μοναστήρι – to Monastiri), de Santa Maria (η Σάντα Μαρία – i Santa Maria) et de Laggeri (η Λάγγερη – i Laggeri).
En laissant derrière nous Naousa, nous pourrons aller jeter un coup d’œil à la colline de Koukounaries (ο λόφος των Κουκουναριών – o lofos ton Koukounarion), où nous trouverons les traces de bâtiments antiques, un cimetière proto-cycladique et le fort vénitien, au nord du port.
Naousa peut constituer un point de départ vers les destinations finales de notre première balade, à savoir Xifaras (ο Ξιφαράς – o Xifaras), Santa-Maria (η Σάντα Μαρία – i Santa Maria) et Ampelas (ο Αμπελάς – o Ampelas). Xifaras est une belle et grande plage sablonneuse au bord de la baie de Naousa. Tout près, le cordon littoral étroit (tombolo), qui relie Laggeri à un îlot situé à quelques pas de là, joue à un petit jeu géologique entre les eaux marines et la sable, en créant un décor idyllique, occasion à ne pas manquer de se livrer à quelques jeux aquatiques.
Vous trouverez à Santa Maria une plage sablonneuse impressionnante de plus, aménagée de transats et de parasols, à proximité de l’un des biotopes humides de l’île.
La zone située à l’est de Naousa est idéale pour dénicher un établissement d’hôtellerie et/ou restauration et en général un hébergement. Vous pourrez ainsi consommer dans l’une des nombreuses tavernes du bord de mer, où le poisson et, de manière plus générale, tous les produits de la mer, sont à la place d’honneur.
En descendant vers le port, laissez-vous le temps pour flâner vers les restes du château vénitien où se trouve de nos jours le vieux marché, château autour duquel s’est bâtie la localité actuelle. Vous trouverez ici encore un monument de l’art byzantin, l’église de Saint-Constantin (ο ναός του Αγίου Κωνσταντίνου – O naos tou Agiou Konstantinou), qui mérite nettement le coup d’œil. En parcourant à pied les rues du quartier du vieux marché (παλιά αγορά – palia agora), vous pourrez admirer de vieilles maisons de maître vénitiennes, la demeure Dimitrakopoulou (η οικία Δημητρακοπούλου – i oikia Dimitrakopoulou) et les fontaines aménagées par l’ancien maire Mavrogenis (οι βρύσες του Δημάρχου Μαυρογένη – oi vryses tou Dimarchou Mavrogeni). Si vous le souhaitez, vous aurez encore la possibilité de profiter de la vue depuis la colline de Sainte-Anne (ο λόφος της Αγίας Άννας – o lofos tis Agias Annas), sur laquelle trônent deux moulins comptant parmi les plus typiques de la région égéenne. Depuis ce point, vous pourrez assister à l’un des plus beaux couchers de soleil de toute la mer Égée.
Outre votre promenade dans les rues étroites de Paroikia, qui offrent d’innombrables occasions de siroter un café ou un rafraîchissement ou un verre d’alcool à consommer avec modération dans un petit bistrot à l’ambiance sympathique et bon enfant, d’autres curiosités mériteront votre attention, comme le cimetière antique près de la mer (το αρχαίο νεκροταφείο – to archaio nekrotafeio), l’atelier de céramique (το εργαστήριο κεραμικής – to ergastirio keramikis) et enfin le Musée archéologique (το Αρχαιολογικό Μουσείο – to Archaiologiko Mouseio).
Nous poursuivrons notre balade en direction de Kalami (Καλάμι), petite localité à vocation elle aussi touristique, la première que nous croiserons à environ quatre kilomètres après le port de Paroikia en allant vers l’ouest. La route s’élève un petit peu sur le versant d’une colline, parmi de rares champs cultivés, des vignes, des maisons et des arbres ordonnés en rangs. En laissant derrière nous Kalami, nous descendons vers Kamares de Paros (Καμάρες της Πάρου – Kamares tis Parou), avec vue sur les éoliennes aménagées en haut de la colline située sur notre gauche.
Notre route se poursuit en descente, avec à gauche vue sur les terrasses de culture (αναβαθμίδες – anavathmides ; cf. les « restanques » de Basse Provence), contribuant à former un décor purement égéen, avec ses étendues buissonneuses et arbustives, ses rares maisons avec leurs devants verdoyants. La plupart de ces maisons constituaient déjà dans l’ancien temps des propriétés rurales que les Pariens des bourgs transformaient en résidences secondaires qui avaient eu auparavant l’usage de résidences principales. Mais bientôt s’achève notre balade et Naousa (Νάουσα) nous attend avec impatience.
Il s’agit, à n’en pas douter, de l’une des plus jolies anciennes petites villes de pêcheurs de toutes les îles égéennes, devenue lieu de séjour touristique international de par sa clientèle, une appellation qu’elle mérite à 100% en période estivale. Lorsque le visiteur arpente ses étroites ruelles très couleur locale, il peut de temps à autre entrapercevoir le petit port avec ses navires de pêche et de passagers, tandis que les points de vue sur le château vénitien, éclairé chaque nuit, complètent ce mignon décor irrésistible. Les images que l’on conservera en mémoire rappellent un peu les canaux de Venise.
Tout près du port se trouve le fortin vénitien de Kasteli (Καστέλι), dont une partie est encore conservée de nos jours. Tout près de la mer, cela vaut le coup d’œil d’aller visiter la petite église de Saint-Nicolas (ο μικρός ναός του Αγίου Νικολάου – o mikros naos tou Agiou Nikolaou), dédiée aux pêcheurs de Naousa, dont les prises sont encore aujourd’hui réputées pour leur abondance, puisqu’ils possèdent la plus importante flottille de pêche de toutes les Cyclades. Si d’aventure vous vous retrouvez ici vers la fin du mois d’août, vous aurez la chance de pouvoir assister à la Fête du poisson qui a lieu le 23 août, neuvième jour après le 15, fête de la Sainte-Vierge.
Une autre église de Naousa, caractérisée par sa valeur historique, est bâtie sur une hauteur dominant la petite ville. Ainsi l’église de la Dormition de la Vierge surplombe tous ses points géographiques où que l’on se trouve. L’un des aspects les plus typiques de Naousa consiste en son pont de pierre imposant, au-dessous duquel vous pourrez voir couler à certaines périodes de l’année un cours d’eau qui se jette dans la baie qui se trouve devant la petite ville.
Ainsi avons-nous atteint encore une fois la mer. Les plages situées autour de Naousa nous attendent, au même titre que le Parc environnemental (το περιβαλλοντικό πάρκο – to perivallontiko parko), près du monastère de Saint-Jean Detis (το μοναστήρι του Αη Γιάννη Δέτη – to monastiri tou Aï Gianni Deti). Nous pourrons profiter d’un plongeon pour nous rafraîchir sur les plages de sable de Piperi (το Πιπέρι – to Piperi), de Piperaki (το Πιπεράκι – to Piperaki), de Kolympithres (οι Κολυμπήθρες – oi Kolympithres), de Monastiri (το Μοναστήρι – to Monastiri), de Santa Maria (η Σάντα Μαρία – i Santa Maria) et de Laggeri (η Λάγγερη – i Laggeri).
En laissant derrière nous Naousa, nous pourrons aller jeter un coup d’œil à la colline de Koukounaries (ο λόφος των Κουκουναριών – o lofos ton Koukounarion), où nous trouverons les traces de bâtiments antiques, un cimetière proto-cycladique et le fort vénitien, au nord du port.
Naousa peut constituer un point de départ vers les destinations finales de notre première balade, à savoir Xifaras (ο Ξιφαράς – o Xifaras), Santa-Maria (η Σάντα Μαρία – i Santa Maria) et Ampelas (ο Αμπελάς – o Ampelas). Xifaras est une belle et grande plage sablonneuse au bord de la baie de Naousa. Tout près, le cordon littoral étroit (tombolo), qui relie Laggeri à un îlot situé à quelques pas de là, joue à un petit jeu géologique entre les eaux marines et la sable, en créant un décor idyllique, occasion à ne pas manquer de se livrer à quelques jeux aquatiques.
Vous trouverez à Santa Maria une plage sablonneuse impressionnante de plus, aménagée de transats et de parasols, à proximité de l’un des biotopes humides de l’île.
La zone située à l’est de Naousa est idéale pour dénicher un établissement d’hôtellerie et/ou restauration et en général un hébergement. Vous pourrez ainsi consommer dans l’une des nombreuses tavernes du bord de mer, où le poisson et, de manière plus générale, tous les produits de la mer, sont à la place d’honneur.